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Champollion et le trésor des Templiers

En 1307, divers convois escortés par des Templiers venus de différentes régions du Lot cachèrent des archives et objets du culte au domaine du Claux, à Camburat et à Capdenac.

 Trésor, alchimie naturelle, légendes locales, n’y a-t-il pas là un mystère que chacun pourrait forcer ? Quoiqu’il en soit, les faits historiques démontrent qu’un trésor templier aurait été caché également dans une antique mense de leur commanderie, par le Templier Gérard de Causse, le 11 octobre 1307. Ce lieu-dit « Les Aiguilles » était situé au sud-ouest de Figeac. Ces aiguilles sont formées d’un piédestal de cinq marches qui supporte un prisme octogonal de 25 pieds de haut sur 16 de circonférence, terminé par une corniche au-dessus de laquelle s’élève une pyramide également octogonale de 20 à 25 pieds. Ces aiguilles étaient, d’après la tradition, en rapport avec une tour très élevée où on allumait des feux pendant la nuit et qui existait sur une montagne voisine de Figeac, dont le nom est encore le Puy de Candal (Montagne des Chandelles). Selon l’historien Jacques Joseph Champollion-Figeac, ce système « fut la base sur laquelle le Templier Gérard de Causse cacha le trésor du Temple ». Cet auteur a publié à Paris en 1820 : Nouvelles recherches sur la ville gauloise d’Uxellodunum assiégée et prise par J. César, Imprimerie Royale, rédigées d’après l’examen des lieux et des fouilles récentes

Sur la piste des Trésors du Temple dans le Lot

 Les Templiers de Cahors se retranchèrent dans les grottes de Pech de Cave, où selon une légende, ils y auraient transporté « 3 coffres », sous la conduite des Templiers Pierre de Teyac, Gérard de Caux (ou Gérard de Causse) et Athon de Salvagnac. Lorsqu’ils voulurent revenir vers leur cachette, ils rencontrèrent les hommes de Philippe le Bel qui les capturèrent. Ces grottes servirent de refuge en d’autres circonstances.

 À Cahors, la tradition locale mentionne des trésors du Temple (fonds monétaires), de leur commanderie située dans la cité, dans une crypte aménagée en coffre-fort, reliée par des souterrains à trois grottes et deux caves qui se trouveraient dans le quartier des Badernes...

 Il existerait un autre dépôt mais d’objets de culte cette fois, au lieu-dit les Chaheus de Cahors, ancienne possession des Templiers.

Des trésors se trouveraient également cachés au château de Cahors, dans une crypte dite mithradique, christianisée au Ve siècle, et récupérée par les Templiers. Il s’agit ici d’un trésor spirituel (archives gnostiques), qui fut en partie dévoilé à l’Inquisition par le Templier Gérard de Caux de la commanderie du Temple de Cahors. Il semblerait qu’une partie fut communiquée à Nogaret, ce qui lui permit d’accentuer ses accusations d’hérésie contre les Templiers.
 Le Templier Athon de Salvagnac aurait caché un trésor dans les caves souterraines du 93 rue du cheval Blanc. Ce fait était mentionné dans les archives hospitalières de Toulouse au XIXe siècle.
 Une légende du Comtat Venaissin (Vaucluse) raconte qu’une partie de ces archives avait été emmenée en Avignon par le pape Jean XXII, suite à son passage à Cahors. Est-ce le lien évoqué plus haut (page 18) ? En tout cas, elles furent abandonnées sur les bords du Rhône à Roquemaure où il décéda.


La tradition mentionne également des trésors en fonds bancaires des commanderies au château de Trébaïx, sur la commune de Villeseque. À Trébaïx (Trebaise) dans le Quercy se trouvent les vestiges d’une commanderie des Templiers dont la tour date du XIIIe siècle ; elle a subi d’importants remaniements au XIVe siècle (Les Templiers, Georges Bordonove - p.259).

 De gros rouleaux d’archives gnostiques de la commanderie de Montsaunès auraient été cachés dans la commanderie « templière » de Carnac, sur la commune de Carnac-Rouffiac. Le 3e Carnac de la trinité des couleurs primaires, celui non dévoilé du Quercy, le 3e frère jumeau des Carnac breton et égyptien (Karnac). C’est le sens caché d’une piste du Sacré venue de Bretagne, via l’Égypte, celle du mégalithe, de Ram... Ramse/le géant...

 Ces informations sont extraites du livre Sur la piste des trésors matériels et spirituels des Templiers de Bernard Falque de Bezaure.

LA JUMELLE, CAPDENAC

L’antique Uxellodunum, une montagne formant une presqu’île entourée par le Lot servit de refuge aux Templiers échappés des rafles de Philippe le Bel en 1307. On y parle d’un trésor templier caché en ce lieu (Réf : le livre de Champollion-Figeac).

 En 1307, divers convois escortés par des Templiers venus de différentes régions du Lot cachèrent des archives et objets du culte au domaine du Claux, à Cambayrac (Camburat) et à Capdenac...

 
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